Il était environ 18h30. le jeudi 17 novembre, lorsqu’un détenu de la maison d’arrêt de Longuenesse, transféré la veille à l’hôpital d’Helfaut et souffrant de troubles psychiatriques, s’est mis à s’agiter.
Le pronostic vital n’est pas en cause
Alors que gendarmes et soignants tentaient de le contrôler, dans un couloir non loin des urgences de l’hôpital, l’homme privé a réussi à s’emparer de l’arme de service d’un des préposés. Puis un coup de feu a été entendu et l’un des gendarmes a été blessé à la jambe. Sa vie, cependant, ne serait pas en danger. Le procureur de Saint-Omer ainsi que le préfet du Pas-de-Calais se sont rendus sur les lieux. Une cellule d’aide psychologique a également été ouverte pour les soignants et les représentants de la police.