Milieu scolaire, chercheurs, grands patrons et politiques s’inquiètent de la baisse du vivier scientifique ainsi que du renforcement des inégalités sociales et de genre provoqué, après la réforme mise en place en 2019, par la disparition des mathématiques du tronc commun obligatoire. Lire aussi : Article dédié à nos abonnés “La destruction progressive de l’enseignement des mathématiques au lycée a commencé en 1993”
Début juin, Emmanuel Macron avait acté le retour de la matière en option en première année dès la rentrée de septembre. Alors que le ministère de l’Education nationale attendait toujours les chiffres définitifs, il estimait mi-octobre que “moins de 10%” des lycéens éligibles avaient choisi de suivre cette filière cette année, une grande minorité d’entre eux. Lire aussi : Cet article est pour nos abonnés Les nouvelles mathématiques optionnelles de première année ne sont suivies que par une petite minorité d’élèves
Le monde avec l’AFP
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