Un gouvernement d’union nationale “à mes yeux n’est pas justifié à ce jour”, poursuit Macron. “Il est donc possible de trouver une majorité plus grande et plus claire pour l’action.” Il veut “une transgression politique”.
TLDR ; On pince jusqu’à la première crise/blocage. pic.twitter.com/DTPNC51qlt
— Philippe Berry (@ptiberry) 22 juin 2022
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Emanuel Macron a d’abord rappelé qu’il avait remporté l’élection présidentielle sur la base, selon lui, “d’un plan clair”, avec une “légitimité claire”. Exprimant ses regrets pour la forte abstention aux élections législatives, il a relevé « les fissures, les divisions profondes qui traversent notre pays et se reflètent dans la composition du nouveau Parlement ».
Pas de gouvernement d’union nationale mais des “compromis”
Le chef de l’Etat rappelle que la majorité présidentielle reste “la première force politique” de l’Assemblée, mais “aucune force politique ne peut légiférer seule”. A la majorité “relative”, Emanuel Macron a cité deux options pour l’élargissement, “soit en construisant un accord de coalition, soit en créant des majorités de texte à texte”. Selon l’habitant d’Elysian, les leaders de l’opposition qu’il a reçus “ont exclu la possibilité d’un gouvernement d’union nationale, ce qui n’est pas [ses] yeux, ne se justifient pas à ce jour. “Je pense qu’il est possible de trouver une majorité plus claire et plus large pour l’action”, a-t-il déclaré, appelant à une “transgression politique” à la hauteur de “l’ambition”. [des Français] sortir des querelles politiques ». Pour ce faire, “il faudra clarifier la part de responsabilité et de coopération que les différentes formations de l’Assemblée nationale sont prêtes à assumer”. Emanuel Macron réussira-t-il cet exercice d’équilibriste ? Réponse cet été. Le chef de l’Etat a promis “des mesures d’urgence pour répondre aux besoins du pays”, avec “une loi sur le pouvoir d’achat et pour que le travail paie mieux”, “des premières décisions pour aller vers le plein emploi”, “des choix forts pour l’énergie et le climat”, « Mesures d’urgence pour notre santé »…. Des projets qui excluent les financements “avec plus d’impôts ou de dette fiscale ou écologique”.
title: “Le Pr Sident Rejette Le Gouvernement D Union Nationale Et Veut Des Compromis " ShowToc: true date: “2022-11-16” author: “Tom Goins”
Emanuel Macron a d’abord rappelé qu’il avait remporté l’élection présidentielle sur la base, selon lui, “d’un plan clair”, avec une “légitimité claire”. Exprimant ses regrets pour la forte abstention aux élections législatives, il a relevé « les fissures, les divisions profondes qui traversent notre pays et se reflètent dans la composition du nouveau Parlement ».
Pas de gouvernement d’union nationale mais des “compromis”
Le chef de l’Etat rappelle que la majorité présidentielle reste “la première force politique” de l’Assemblée, mais “aucune force politique ne peut légiférer seule”. A la majorité “relative”, Emanuel Macron a cité deux options pour l’élargissement, “soit en construisant un accord de coalition, soit en créant des majorités de texte à texte”. Selon l’habitant d’Elysian, les leaders de l’opposition qu’il a reçus “ont exclu la possibilité d’un gouvernement d’union nationale, ce qui n’est pas [ses] yeux, ne se justifient pas à ce jour. “Je pense qu’il est possible de trouver une majorité plus claire et plus large pour l’action”, a-t-il déclaré, appelant à une “transgression politique” à la hauteur de “l’ambition”. [des Français] sortir des querelles politiques ». Pour ce faire, “il faudra clarifier la part de responsabilité et de coopération que les différentes formations de l’Assemblée nationale sont prêtes à assumer”. Emanuel Macron réussira-t-il cet exercice d’équilibriste ? Réponse cet été. Le chef de l’Etat a promis “des mesures d’urgence pour répondre aux besoins du pays”, avec “une loi sur le pouvoir d’achat et pour que le travail paie mieux”, “des premières décisions pour aller vers le plein emploi”, “des choix forts pour l’énergie et le climat”, « Mesures d’urgence pour notre santé »…. Des projets qui excluent les financements “avec plus d’impôts ou de dette fiscale ou écologique”.