” [A]Après consultation des membres du caucus et des militants travaillant dans les instances du parti, il apparaît qu’une telle option n’est pas soutenable et ne favoriserait pas la cohésion du groupe libéral. […] La cohésion d’équipe est une priorité, cette voie ne peut pas être la solution. » — Une citation de Marc Tanguay, chef par intérim du Parti libéral du Québec Marc Tanguay précise, dans un communiqué diffusé lundi soir, que la porte du caucus libéral demeure ouverte et qu’il est prêt à discuter avec elle des responsabilités parlementaires et représentatives qui lui permettront de revenir. Il est maintenant temps pour le caucus libéral de se consacrer à la tâche de préparer le retour imminent au Parlement et de défendre les intérêts de tous les Québécois, a-t-il conclu.

Franz Benjamin est furieux

Frantz Benjamin, député de Viau, qui a d’abord été nommé pour occuper ce poste de député par l’ancien chef libéral Dominique Anglade, s’est dit furieux et a refusé d’accepter que le PLQ ait coupé la poire en deux, selon Le Canadien. Taper. Selon un proche de M. Benjamin, le député libéral n’acceptera jamais aucune forme d’humiliation. Ce qu’il représente est plus grand qu’un siège ou qu’une prime à l’Assemblée nationale, a ajouté cette source. Cependant, relativement à l’offre faite à Mme Nicholls, que cette dernière a acceptée, M. Tanguay a présenté ses excuses personnelles au député et s’est engagé à demander des excuses publiques au nom des fonctionnaires du Parlement. Une conférence de presse conjointe est prévue mardi matin avec les responsables du PLQ.

Affaire qui a coulé l’ancien chef ?

La députée de Vaudreuil avait été évincée des banquettes libérales par l’ex-chef Dominique Anglade après qu’elle eut refusé d’accepter les responsabilités qu’il voulait lui confier. M. Nicholls voulait occuper le poste de troisième vice-président de l’Assemblée nationale, qui est réservé à l’opposition officielle. Ce renvoi provoqua un tollé et contribua à hâter le départ de Mme England. Dominique Anglade a été prise dans la tourmente provoquée non seulement par les pires résultats électoraux du parti depuis plus de 150 ans, mais aussi par cette décision de radier un député alors que le parti n’en a élu que 21 le 3 octobre. Et si Dominique Anglade a tenté de recoller les morceaux en réinvitant Mme Nichols au Parti libéral quelques jours seulement après lui avoir montré la porte, le principal intervenant a refusé cette main tendue, allant jusqu’à confirmer que non. plus confiance en son patron. Avec les informations de Sébastien Bovet