C’est une séquence qui a pris un tournant dans les positions de fin de vie d’Emmanuel Macron. Le 31 mars, Guy, 63 ans, atteint de la maladie de Charcot, est venu à la rencontre du candidat à la présidentielle pour l’alerter sur l’importance de légaliser l’euthanasie en France. Depuis, Guy est décédé en Belgique.
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Son compagnon Pascal, présent ce jour-là avec Guy en fauteuil roulant, a témoigné sur RTL et expliqué qu’il avait alerté Emmanuel Macron de la mort de Guy, qui “est parti entouré de ses enfants, de leurs femmes, de son frère le sien” et de sa compagne. “La seule limitation est que nous devions aller en Belgique”, a expliqué Pascal.
“Tu peux compter sur moi”
Le 31 mars, Guy avait giflé le président pour exprimer son regret de devoir partir à l’étranger pour pouvoir mourir dignement. “Emmanuel Macron avait un visage très sympathique, on a pu voir qu’il était ému”, a témoigné Pascal. Suite à cela, pour la première fois, le président s’est déclaré “favorable à aller vers le modèle belge”, ouvrant ainsi la voie aux discussions sur la fin de vie en France.
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Après avoir annoncé le décès de ce lanceur d’alerte, Emmanuel Macron a assuré à son partenaire qu’il allait faire en sorte “que la réflexion qu’il ouvre – et je l’espère apaisée et éclairée – nous permette d’avancer ensemble vers une fin de vie plus digne et plus humaine” « Je n’oublierai pas Guy, ni sa mémoire, ni son combat. Vous pouvez compter sur moi”, a-t-il écrit.
title: " Je N Oublierai Pas Guy Emmanuel Macron R Agit L Euthanasie De Celui Qui L Avait Interrog Sur La Fin De Vie " ShowToc: true date: “2022-11-30” author: “Joseph Franklin”
C’est une séquence qui a pris un tournant dans les positions de fin de vie d’Emmanuel Macron. Le 31 mars, Guy, 63 ans, atteint de la maladie de Charcot, est venu à la rencontre du candidat à la présidentielle pour l’alerter sur l’importance de légaliser l’euthanasie en France. Depuis, Guy est décédé en Belgique.
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Son compagnon Pascal, présent ce jour-là avec Guy en fauteuil roulant, a témoigné sur RTL et expliqué qu’il avait alerté Emmanuel Macron de la mort de Guy, qui “est parti entouré de ses enfants, de leurs femmes, de son frère le sien” et de sa compagne. “La seule limitation est que nous devions aller en Belgique”, a expliqué Pascal.
“Tu peux compter sur moi”
Le 31 mars, Guy avait giflé le président pour exprimer son regret de devoir partir à l’étranger pour pouvoir mourir dignement. “Emmanuel Macron avait un visage très sympathique, on a pu voir qu’il était ému”, a témoigné Pascal. Suite à cela, pour la première fois, le président s’est déclaré “favorable à aller vers le modèle belge”, ouvrant ainsi la voie aux discussions sur la fin de vie en France.
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Après avoir annoncé le décès de ce lanceur d’alerte, Emmanuel Macron a assuré à son partenaire qu’il allait faire en sorte “que la réflexion qu’il ouvre – et je l’espère apaisée et éclairée – nous permette d’avancer ensemble vers une fin de vie plus digne et plus humaine” « Je n’oublierai pas Guy, ni sa mémoire, ni son combat. Vous pouvez compter sur moi”, a-t-il écrit.