Le président de la FFF a d’abord voulu réagir aux interminables débats sur l’organisation du tournoi. « Cette Coupe du monde s’est décidée il y a dix ans. Depuis six mois, nous avons l’impression qu’il ne faut pas y aller, que c’est dommage. Le Qatar va bien organiser les choses, j’en suis sûr. Le pays veut bien faire. Je n’arrête pas de dire, même si on me crie dessus, que la Coupe du monde fera avancer le Qatar de manière significative. promu le leader, tout en restant mesuré. “Si je vois sur place qu’il y a des choses qui ne collent pas, on peut réagir. Je le ferai s’il le faut. Mais a priori, non. » Le Graët est alors revenu sur l’initiative de huit dirigeants (Pays-Bas, France, Belgique, Danemark, Allemagne, Pays de Galles, Angleterre et Suisse) de porter un brassard dénonçant les discriminations. “On en reparlera. Mais j’aime tellement ça (Hugo Lloris, ndlr) ne fais pas ça. Nous jouerons dans un pays que nous devons respecter. Mais si nous devons le porter, nous le ferons. Ce n’est pas que je ne sois pas favorable à ce brassard, mais parfois je me dis qu’on a tellement envie d’être professeurs qu’il faut regarder ce qui se passe à la maison. » Enfin, d’un point de vue sportif, NLG s’est exprimé sur l’avenir de Didier Deschamps, en fonction des performances des Bleus. “Nous sommes tous les deux d’accord, nous nous reverrons juste après la Coupe du monde. Si nous allons en demi-finale, il a l’option. S’il se sent motivé pour continuer, on ne se dispute même pas, si on n’est pas dans les quatre derniers, on discute… Dans ce cas, c’est moi qui ai le dessus. » UN B