• À lire aussi : Espionnage chinois : vigilance requise, dit l’ex-ambassadeur du Canada • À lire aussi : Espion télétravailleur : des secrets d’Hydro-Québec divulgués en Chine depuis les banlieues Pourtant, le site d’Hydro-Québec est clair. Dans sa rubrique “application”, on peut lire : “Le français est la langue de travail officielle de l’entreprise. Vous devrez passer trois tests : un test de français, un test cognitif et un test de personnalité. Si vous le souhaitez, vous pouvez passer les deux derniers tests en anglais. Cette option vous est offerte afin que la langue du questionnaire ne soit pas un obstacle à la compréhension des questions. Cependant, les instructions vous seront données en français. » Mandarin monolingue Comment Yuesheng Wang, un mandarin monolingue, a-t-il pu travailler depuis 2018 pour l’entreprise publique ? « Il peut y avoir des cas exceptionnels, dans les secteurs de haute technologie, d’employés qui ne parlent pas français à leur arrivée à Hydro-Québec, explique Caroline Des Rosiers, porte-parole d’Hydro-Québec. “Dans tous les cas, ils doivent participer à des programmes de franchise. »
Formation inefficace L’espion chinois aurait en effet participé à des programmes de francisation, selon Mme Des Rosiers, même si les résultats paraissent flous. M. Wang a travaillé au Centre d’excellence en électrification des transports et en stockage d’énergie d’Hydro-Québec à Varennes. Abritant autrefois un millier de travailleurs, le centre emploie aujourd’hui 400 à 500 personnes – principalement des techniciens, des doctorants et des chercheurs. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.


title: “Espion Hydro Qu Bec Il Travaillait Sans Parler Fran Ais Ni Anglais Pourquoi " ShowToc: true date: “2022-12-23” author: “William Cass”


• À lire aussi : Espionnage chinois : vigilance requise, dit l’ex-ambassadeur du Canada • À lire aussi : Espion télétravailleur : des secrets d’Hydro-Québec divulgués en Chine depuis les banlieues Pourtant, le site d’Hydro-Québec est clair. Dans sa rubrique “application”, on peut lire : “Le français est la langue de travail officielle de l’entreprise. Vous devrez passer trois tests : un test de français, un test cognitif et un test de personnalité. Si vous le souhaitez, vous pouvez passer les deux derniers tests en anglais. Cette option vous est offerte afin que la langue du questionnaire ne soit pas un obstacle à la compréhension des questions. Cependant, les instructions vous seront données en français. » Mandarin monolingue Comment Yuesheng Wang, un mandarin monolingue, a-t-il pu travailler depuis 2018 pour l’entreprise publique ? « Il peut y avoir des cas exceptionnels, dans les secteurs de haute technologie, d’employés qui ne parlent pas français à leur arrivée à Hydro-Québec, explique Caroline Des Rosiers, porte-parole d’Hydro-Québec. “Dans tous les cas, ils doivent participer à des programmes de franchise. »
Formation inefficace L’espion chinois aurait en effet participé à des programmes de francisation, selon Mme Des Rosiers, même si les résultats paraissent flous. M. Wang a travaillé au Centre d’excellence en électrification des transports et en stockage d’énergie d’Hydro-Québec à Varennes. Abritant autrefois un millier de travailleurs, le centre emploie aujourd’hui 400 à 500 personnes – principalement des techniciens, des doctorants et des chercheurs. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.