• À lire aussi : Viol collectif : les dirigeants du hockey au Canada doivent s’expliquer C’est du moins ce qu’ont affirmé lundi les dirigeants de l’organisation, qui allaient soumettre la situation au Comité permanent du patrimoine canadien de la Chambre des communes. Plus tôt dans la journée, CBC révélait que Hockey Canada avait reçu 14 millions de dollars du gouvernement fédéral. Cependant, le président de l’agence, Scott Smith, a déclaré que l’agence devait augmenter certains de ses propres investissements pour parvenir à un accord avec la dame en question. Selon les accusations, la jeune femme a été victime d’un viol collectif commis par huit joueurs depuis l’édition 2018 d’Équipe Canada junior. Cependant, les responsables du hockey canadien ont déclaré à plus d’une occasion que, selon leur enquête, les faits exacts de cette nuit-là ne pouvaient être déterminés avec certitude, tout comme l’identité des huit personnes qui les blâmaient. L’organisation aurait contacté tous les joueurs de l’édition 2018 ainsi que leurs équipes respectives pour les informer de la situation. De plus, le PDG sortant Tom Renney a estimé que le nombre de joueurs impliqués dans l’enquête policière se situait entre quatre et six, tandis que Smith a corrigé la situation en déclarant que “ce n’était pas [assurément] pas entre quatre et six, mais un plus grand nombre.” Les deux hommes ont également ajouté que Hockey Canada doit entreprendre un long voyage pour rendre le sport plus sécuritaire et plus inclusif.